Près de 40 ans après avoir créé la méthode des Psychoportraits Symbolique, je reviens sur sa genèse. Quelles sont les disciplines qui la fondent ? Quel est le mode de fonctionnement et d’administration ? Existe-t-il des grilles de décryptage type ? Mais aussi, pourquoi l’utiliser, que ce soit en entreprise, lors d’une séance de coaching individuel ou de vie ? Quelles sont les différentes approches méthodologiques ? Et enfin, quelles sont les limites ou contraintes déontologiques. Le schéma général de fonctionnement, un témoignage de psychanalyste parmi les utilisateurs de cette méthode et des sources bibliographiques complètent l’article. A ce jour, au sein des organisations et individuellement, près de 4000 Psychoportraits Symboliques ont été réalisés depuis le tout premier en 1987. Un nombre suffisant pour en tirer des enseignements dans ma pratique de consultante, de coach et de psychopraticienne.
Crédits photos
DEfiCamp : Frenchity.com
Ines Dahmani
Louis Cuchet-Chosseler pour Don en confiance
Marie-Pierre Medouga
25 psychoportraits symboliques pour rénover des locaux dans le secteur de la prévoyance
L’aménagement des locaux est un outil de management
L’Institut du Psychoportrait collabore régulièrement avec la chercheuse en organisation des espaces qu’est Françoise Bronner.
Nous nous sommes rencontrées alors que je travaillais sur un court-métrage que j’ai contribué à faire émerger : Si le bureau m’était conté, alors que j’étais chargée de communication – Consultante au sein de Tertiam.
2017 l’année de l’intuition ?
L’institut du Psychoportrait Symbolique est créé depuis 2015 mais les formations, ateliers , animations et les articles ou interventions qu’il publie ou développe existent depuis bien plus longtemps.Tout un catalogue de formations a été créé pour les entreprises et leurs collaborateurs. L’année 2017 sera placée sous le signe de l’intuition.
Le serpent blanc : osez la compassion, l’intuition et les conduites disruptives pour manager !
Le serpent blanc
Écouter : https://youtu.be/A8J_7RIO6tc
Un conte des frères Grimm
Un roi très savant se faisait livrer tous les jours un plat qui contenait de la viande de serpent blanc mais que personne n’avait jamais vu car le roi était toujours seul pour ouvrir le plat. Un jeune serviteur curieux un soir se cacha et découvrit ce que dissimulait le plat : le serpent blanc. La chair de celui-ci permettait à celui qui le mangeait de comprendre le langage des animaux. On accusa le jeune serviteur du Roi d’avoir volé une bague. Il s’aperçut alors qu’il comprenait le langage des animaux car il entendait des canards cancaner : l’un deux avait mangé la bague. Il demandait à ce qu’on égorgea le canard et qu’on lui ouvrit le ventre. Il put prouver son innocence. Et il s’en fut par les routes. Il rencontra trois animaux à qui il apporta de l’aide. Des poissons qu’il remit à l’eau, des fourmis qu’il n’écrasa pas et des corbeaux qu’il sauva de la faim en tuant son propre cheval pour les nourrir. Arrivé dans un royaume, il apprit qu’un défi existait : celui qui le réussirait pourrait épouser la princesse, l’échec, signifiant la mort. Grâce au poisson, il put ramener la bague sur le rivage. Mais la princesse orgueilleuse refusa de l’épouser et lui donna un second défi : ramasser le mil qu’elle avait renversé dans un champ : grâce aux fourmis, il réussit encore. La princesse fière trouva un troisième défi : ramener une pomme d’or de l’arbre de vie. Heureusement les corbeaux qui avaient entendu la lui ramenèrent. Le serviteur coupa la pomme en deux : ils la croquèrent et la princesse tomba amoureuse du serviteur qui put enfin l’épouser et devenir roi.